Météo agricole Saint-Marcel : prévention et déclaration d’assurance

Saint-Marcel, une terre fertile du [Région], où l’agriculture rythme la vie de nombreux habitants, est confrontée aux défis constants des variations climatiques et des événements météorologiques extrêmes. Les agriculteurs de Saint-Marcel, producteurs de céréales, de fruits et de légumes, le savent bien : leur activité est intimement liée aux conditions météorologiques et chaque saison apporte son lot de préoccupations. Une forte averse de grêle en plein mois de juin peut ruiner une récolte de blé en quelques minutes, tandis qu’une sécheresse prolongée peut compromettre la production de fruits et légumes. Face à ces aléas, la compréhension de la météo agricole locale, l’adoption de mesures de prévention efficaces contre les risques climatiques et la connaissance des procédures d’assurance récolte sont des éléments clés pour la pérennité des exploitations agricoles à Saint-Marcel.

Nous aborderons les spécificités du climat local, les outils de prévision disponibles, les solutions de protection des cultures, les aspects importants de l’assurance agricole multirisque climatique et les procédures de déclaration en cas de sinistre lié à la météo agricole.

Comprendre la météo agricole à saint-marcel : spécificités locales et impacts sur les cultures

Pour une agriculture prospère et durable à Saint-Marcel, il est crucial de bien comprendre les particularités du climat local et les impacts des conditions météorologiques sur les différentes cultures. Ce n’est pas seulement une question de température et de précipitations moyennes, mais aussi de la répartition de ces éléments au cours de l’année, des microclimats spécifiques à certaines zones et de l’évolution des tendances climatiques sur le long terme, notamment en lien avec le réchauffement climatique. Une connaissance approfondie de la météo agricole permet d’adapter les pratiques culturales, de choisir les variétés les plus résistantes aux aléas climatiques et d’anticiper les risques potentiels pour minimiser les pertes et optimiser les rendements.

Climat local : caractéristiques et variations

Saint-Marcel, situé à une altitude moyenne de [Altitude en mètres] mètres, bénéficie d’un climat de type [Type de climat], caractérisé par des étés chauds et secs et des hivers froids et humides. Les températures moyennes annuelles oscillent entre 8°C et 18°C, avec des variations importantes selon les saisons. Les précipitations annuelles sont d’environ 850 millimètres, avec une répartition variable selon les saisons, avec un pic au printemps et à l’automne. L’ensoleillement est d’environ 2000 heures par an, ce qui favorise le développement de nombreuses cultures, notamment la vigne et les arbres fruitiers. Cependant, cette situation géographique rend l’agriculture particulièrement vulnérable aux aléas climatiques, comme les gelées tardives, les sécheresses estivales et les orages de grêle.

Cependant, il est important de noter que des microclimats peuvent exister au sein de Saint-Marcel, en raison de la diversité du relief et de la présence de cours d’eau. Les vallées, par exemple, peuvent être plus froides et humides que les plateaux, et les zones exposées au vent peuvent être plus sujettes à la sécheresse et à l’érosion. La présence de la rivière [Nom du cours d’eau local] influence également le climat local, créant des zones plus humides et favorisant la formation de brouillard matinal, ce qui peut être favorable à certaines cultures, mais aussi augmenter le risque de maladies cryptogamiques.

Risques météorologiques spécifiques à Saint-Marcel : identifier les dangers pour l’agriculture

Les agriculteurs de Saint-Marcel sont particulièrement exposés à plusieurs risques météorologiques, qui peuvent avoir des conséquences désastreuses sur leurs récoltes et leurs exploitations agricoles. Il est essentiel d’identifier ces risques, de comprendre leur fréquence et leur intensité, et de mettre en place des mesures de prévention adaptées à chaque type de risque et à chaque type de culture.

  • Grêle : Les orages de grêle, fréquents en été, peuvent survenir pendant les mois de juin, juillet et août, causant des dégâts importants aux cultures fruitières (pommes, poires, cerises) et céréalières (blé, orge, maïs). Une seule averse de grêle peut détruire une partie importante d’une récolte en quelques minutes.
  • Sécheresse : Les périodes de sécheresse prolongées, comme celle observée en 2003 et en 2022, peuvent entraîner des pertes de rendement significatives pour les cultures sensibles au manque d’eau, comme le maïs et les légumes. La sécheresse peut également affecter la qualité des fourrages destinés à l’alimentation du bétail.
  • Inondations : Les fortes pluies, notamment lors d’épisodes cévenols en automne, peuvent provoquer des inondations, notamment dans les zones basses proches de la rivière [Nom du cours d’eau local], endommageant les cultures et les infrastructures agricoles (routes, bâtiments, matériel). Les inondations peuvent également entraîner la contamination des sols par des polluants.
  • Gelées tardives : Les gelées tardives du printemps, survenant en avril ou en mai, peuvent détruire les bourgeons des arbres fruitiers et compromettre la récolte de l’année. Les gelées tardives sont particulièrement redoutées par les viticulteurs, car elles peuvent affecter la production de vin.
  • Vents violents : Les vents violents, notamment lors de tempêtes hivernales, peuvent endommager les cultures (verse des céréales, bris de branches d’arbres), arracher les arbres et causer des dégâts aux bâtiments agricoles (toitures, serres). On note régulièrement des rafales dépassant les 100 km/h, notamment en hiver.

Ces dernières années, on observe une augmentation de la fréquence et de l’intensité des événements météorologiques extrêmes à Saint-Marcel, en lien avec le réchauffement climatique. La sécheresse de 2022 a été particulièrement sévère, avec des précipitations inférieures de 40% à la normale et des températures record dépassant les 40°C pendant plusieurs jours. Cette évolution inquiétante souligne la nécessité de renforcer les mesures de prévention, d’adapter les pratiques agricoles et de se protéger financièrement grâce à l’assurance agricole multirisque climatique.

Insérer ici l’infographie sur le calendrier des risques par culture

Outils de prévention météo : anticiper, s’adapter et protéger les récoltes à Saint-Marcel

Face à l’incertitude météorologique et à l’augmentation des risques climatiques, les agriculteurs de Saint-Marcel disposent de nombreux outils pour anticiper les dangers, adapter leurs pratiques agricoles et protéger leurs récoltes. De la simple consultation des prévisions météo à l’investissement dans des équipements de protection sophistiqués, les solutions sont variées et permettent de limiter l’impact des aléas climatiques sur les rendements et la qualité des productions agricoles. Une stratégie de prévention efficace repose sur une combinaison d’outils et de pratiques adaptés à chaque type d’exploitation et à chaque type de risque.

Sources d’information météorologique : choisir les données les plus fiables pour l’agriculture

L’accès à des informations météorologiques fiables, précises et actualisées est un élément essentiel de la prévention des risques climatiques en agriculture. Plusieurs sources sont disponibles, offrant différents niveaux de détail et de spécialisation, allant des prévisions générales aux alertes spécifiques pour l’agriculture. Il est important de choisir les sources les plus adaptées à ses besoins et de savoir interpréter les informations pour prendre les bonnes décisions.

Météo france : le service public de la météorologie au service des agriculteurs

Météo France, le service public de la météorologie, propose une large gamme de services, allant des prévisions générales aux bulletins d’alerte, en passant par des prévisions spécifiquement adaptées à l’agriculture. Le site web de Météo France offre un accès gratuit aux prévisions à court et moyen terme, ainsi qu’à des données climatiques historiques. Météo France propose des prévisions détaillées pour Saint-Marcel, avec des informations sur la température, les précipitations, le vent et l’ensoleillement. Le service « Agri4D » de Météo France est particulièrement intéressant pour les agriculteurs, car il fournit des informations détaillées sur les paramètres climatiques pertinents pour l’agriculture, tels que la température du sol, l’humidité de l’air, le risque de gel et le risque de maladies des plantes.

Autres fournisseurs de prévisions : comparer les offres pour une information complète

Outre Météo France, d’autres fournisseurs de prévisions météorologiques proposent des services aux agriculteurs. Il est important de comparer les différentes sources pour évaluer leur fiabilité, leur précision et leur coût, et pour choisir les services les plus adaptés à ses besoins. Certains fournisseurs se spécialisent dans les prévisions à long terme (saisonnières), qui peuvent être utiles pour la planification des semis et des récoltes, tandis que d’autres se concentrent sur les prévisions à court terme, pour la gestion quotidienne des cultures.

  • Weenat : Application mobile spécialisée dans les prévisions agricoles, avec des capteurs connectés pour mesurer les paramètres climatiques sur l’exploitation.
  • Agri-Météo : Fournisseur de prévisions météorologiques spécifiques pour l’agriculture, avec des alertes personnalisées en cas de risque climatique.
  • La Chaîne Météo : Site web et chaîne de télévision proposant des prévisions météorologiques générales et agricoles.

Outils de prévention concrets : protéger les cultures et les bâtiments agricoles

Au-delà de la simple consultation des prévisions météo, les agriculteurs de Saint-Marcel peuvent mettre en place des mesures de prévention concrètes pour protéger leurs cultures, leurs bâtiments agricoles et leurs exploitations contre les risques climatiques. Ces mesures peuvent être actives, en intervenant directement sur l’environnement, ou passives, en adaptant les pratiques agricoles pour rendre les cultures moins vulnérables.

Solutions actives : intervenir directement pour limiter l’impact des aléas

Les solutions actives consistent à intervenir directement pour limiter l’impact des aléas climatiques sur les cultures et les bâtiments agricoles. Ces solutions peuvent être coûteuses à mettre en place, mais elles peuvent s’avérer très efficaces pour protéger les récoltes et éviter des pertes importantes.

Filets anti-grêle : une protection efficace contre les orages estivaux

Les filets anti-grêle sont une solution efficace pour protéger les cultures fruitières (pommes, poires, cerises, abricots) contre les dommages causés par la grêle. Ils consistent à tendre des filets au-dessus des arbres, formant une barrière physique qui empêche les grêlons d’atteindre les fruits. L’installation de filets anti-grêle représente un investissement conséquent, avec un coût d’installation variant entre 15 000 et 25 000 euros par hectare, mais elle peut s’avérer rentable en cas d’orage de grêle, en évitant des pertes de récolte importantes. Les filets anti-grêle peuvent également protéger les cultures contre les coups de soleil et les oiseaux.

Systèmes d’irrigation : lutter contre la sécheresse et assurer des rendements optimaux

L’irrigation est essentielle pour lutter contre la sécheresse et assurer un approvisionnement en eau suffisant pour les cultures, notamment pendant les mois d’été, où les précipitations sont faibles et les températures élevées. Différents types de systèmes d’irrigation sont disponibles, adaptés aux besoins spécifiques de chaque culture et de chaque exploitation, comme l’irrigation par aspersion, l’irrigation goutte à goutte et la micro-irrigation. L’irrigation goutte à goutte est particulièrement efficace, car elle permet de distribuer l’eau directement aux racines des plantes, limitant les pertes par évaporation et optimisant l’utilisation de l’eau. Le coût d’installation d’un système d’irrigation varie entre 5 000 et 15 000 euros par hectare, selon le type de système et la surface à irriguer.

Chauffage antigel : protéger les cultures fruitières contre les gelées printanières

Le chauffage antigel est utilisé pour protéger les cultures fruitières contre les gelées tardives du printemps, qui peuvent détruire les bourgeons des arbres fruitiers et compromettre la récolte de l’année. Il consiste à chauffer l’air ambiant autour des arbres fruitiers, empêchant la formation de glace sur les bourgeons. Différentes techniques de chauffage antigel sont utilisées, telles que les bougies à paraffine, les tours à vent et les systèmes d’aspersion. Le coût de fonctionnement d’un système de chauffage antigel peut être élevé, avec une consommation de [Quantité] litres de paraffine par hectare et par heure, mais il peut sauver une récolte entière en cas de gel. Les bougies à paraffine sont la solution la plus courante, mais elles sont également les plus polluantes.

Solutions passives : adapter les pratiques agricoles pour une meilleure résilience

Les solutions passives consistent à adapter les pratiques agricoles pour rendre les cultures moins vulnérables aux aléas climatiques et améliorer la résilience des exploitations. Ces solutions sont généralement moins coûteuses à mettre en place que les solutions actives, mais elles nécessitent une planification rigoureuse et une bonne connaissance des spécificités du climat local et des besoins des cultures.

Choix des variétés résistantes : sélectionner les cultures adaptées au climat local

Le choix des variétés est essentiel pour minimiser l’impact des aléas climatiques sur les rendements et la qualité des productions agricoles. Il faut privilégier les variétés résistantes au climat local, aux maladies et aux ravageurs. Par exemple, des variétés de blé dur sont plus résistantes à la sécheresse que les variétés de blé tendre, et certaines variétés de pommiers sont plus résistantes à la tavelure que d’autres. Il est essentiel de se renseigner auprès des semenciers, des pépiniéristes et des organismes agricoles pour connaître les variétés les plus adaptées à Saint-Marcel et à ses risques climatiques. La Chambre d’Agriculture de la région peut fournir des conseils personnalisés aux agriculteurs.

Techniques de conservation des sols : améliorer la fertilité et la résistance à la sécheresse

Les techniques de conservation des sols, telles que le travail du sol simplifié (labour minimum, semis direct), la couverture végétale (engrais verts, mulch) et la rotation des cultures, permettent d’améliorer la structure du sol, de retenir l’eau et de limiter l’érosion. Ces pratiques contribuent à rendre les cultures plus résistantes à la sécheresse, aux inondations et aux maladies. Un sol bien structuré peut stocker jusqu’à 20% d’eau de plus qu’un sol compacté, ce qui permet aux plantes de mieux résister aux périodes de sécheresse. Les techniques de conservation des sols contribuent également à améliorer la fertilité du sol et à réduire l’utilisation d’engrais et de pesticides.

Diversification des cultures : réduire les risques et améliorer la biodiversité

La diversification des cultures permet de réduire la vulnérabilité de l’exploitation en cas de sinistre climatique et d’améliorer la biodiversité. En cultivant différentes espèces, l’agriculteur répartit les risques et limite les pertes potentielles en cas de grêle, de sécheresse ou d’inondation. La diversification peut également améliorer la fertilité des sols, réduire l’utilisation de pesticides et favoriser la présence d’insectes pollinisateurs. Une exploitation diversifiée est plus résiliente face aux aléas climatiques et plus durable sur le long terme.

Insérer ici le tableau comparatif des variétés de cultures adaptées

Assurance agricole : se protéger financièrement contre les aléas climatiques à Saint-Marcel

Même avec les meilleures mesures de prévention et les pratiques agricoles les plus adaptées, il est impossible d’éliminer complètement les risques liés aux aléas climatiques. La grêle, la sécheresse, les inondations et les gelées peuvent survenir de manière imprévisible et causer des dommages importants aux cultures et aux bâtiments agricoles. L’assurance agricole est donc un outil essentiel pour se protéger financièrement en cas de sinistre et assurer la pérennité de l’exploitation. Elle permet de compenser les pertes de récolte, les dommages causés aux bâtiments agricoles et les autres dépenses liées aux aléas climatiques.

Introduction à l’assurance agricole : un outil indispensable pour la gestion des risques

L’assurance agricole joue un rôle crucial en offrant une protection financière aux agriculteurs face aux aléas climatiques et aux autres risques qui menacent leur activité. Elle permet de stabiliser les revenus agricoles, de garantir la viabilité des exploitations, même en cas de sinistre majeur, et de faciliter l’accès au crédit bancaire. Plusieurs types d’assurance agricole sont disponibles, adaptés aux besoins spécifiques de chaque exploitation, de chaque type de culture et de chaque région. Il est important de bien comprendre les différentes options et de choisir la formule la plus adaptée à sa situation.

Les différents types d’assurance agricole : choisir la couverture adaptée à ses besoins

L’assurance agricole se décline en plusieurs types de contrats, couvrant différents types de risques et offrant différents niveaux de protection. Il est essentiel de bien connaître les différentes options pour choisir la couverture la plus adaptée à ses besoins et à sa situation.

  • Assurance multirisque climatique (AMC) : L’AMC est la forme d’assurance la plus complète, couvrant les pertes de récolte dues à différents événements climatiques (grêle, sécheresse, inondation, gel). Elle peut également couvrir les dommages causés aux bâtiments agricoles par les intempéries.
  • Assurance récolte : L’assurance récolte couvre les pertes de récolte dues à un événement spécifique, tel que la grêle. Elle est généralement moins chère que l’AMC, mais elle offre une protection moins large.
  • Assurance des bâtiments agricoles : L’assurance des bâtiments agricoles couvre les dommages causés aux bâtiments agricoles (granges, étables, hangars) par les intempéries (vents violents, tempêtes, inondations).
  • Assurance mortalité du bétail : Cette assurance couvre les pertes financières liées à la mort du bétail, due à des maladies, des accidents ou des événements climatiques extrêmes.
  • Assurance responsabilité civile agricole : Cette assurance couvre les dommages causés à des tiers par l’activité agricole (pollution, accidents).

Focus sur l’AMC : une protection complète contre les aléas climatiques

L’assurance multirisque climatique (AMC) est une protection complète qui couvre un large éventail de risques climatiques, tels que la grêle, la sécheresse, l’inondation, le gel, les tempêtes et les excès de pluie. Elle indemnise les pertes de récolte, les dommages causés aux cultures et les autres dépenses liées aux aléas climatiques. Les garanties, les franchises, les exclusions et les modalités de calcul des indemnités varient selon les contrats et les assureurs. Il est important de bien lire les conditions générales de l’assurance avant de souscrire un contrat et de comparer les offres des différents assureurs. Généralement, une franchise de 20% à 30% s’applique sur les pertes de récolte, et le taux de couverture varie entre 70% et 90% des pertes réelles.

Déclaration de sinistre : les étapes clés pour obtenir une indemnisation rapide

En cas de sinistre climatique, il est crucial de suivre une procédure rigoureuse pour déclarer les dommages à son assureur et obtenir une indemnisation rapide. Le respect des délais, la fourniture de documents justificatifs et la collaboration avec l’expert mandaté par l’assureur sont essentiels pour obtenir une indemnisation équitable et dans les meilleurs délais. Une déclaration de sinistre bien préparée permet de faciliter le travail de l’assureur et d’accélérer le processus d’indemnisation.

Obligations de l’assuré : ce que vous devez faire en cas de sinistre

L’assuré a plusieurs obligations en cas de sinistre climatique. Il doit déclarer rapidement les dommages à son assureur, conserver les preuves des pertes subies, collaborer avec l’expert mandaté par l’assureur et prendre les mesures nécessaires pour limiter l’aggravation des dommages.

  • Déclaration rapide du sinistre : Déclarer le sinistre dans les 24 à 72 heures suivant sa survenance, par téléphone, par courrier recommandé ou par email.
  • Conservation des preuves : Prendre des photos et des vidéos des dommages causés aux cultures et aux bâtiments agricoles, conserver les relevés de production, les factures d’achat d’intrants (semences, engrais, pesticides) et les autres documents justificatifs.
  • Collaboration avec l’expert : Fournir toutes les informations demandées par l’expert mandaté par l’assureur et faciliter son travail d’évaluation des dommages.
  • Mesures de conservation : Prendre les mesures nécessaires pour limiter l’aggravation des dommages, comme la protection des cultures restantes, la réparation des bâtiments endommagés et l’évacuation du bétail en cas d’inondation.

Procédure de déclaration : les étapes à suivre pour une demande d’indemnisation réussie

La procédure de déclaration d’un sinistre agricole comporte plusieurs étapes, qu’il est important de suivre attentivement pour augmenter ses chances d’obtenir une indemnisation rapide et équitable.

  • Contacter son assureur : Contacter son assureur par téléphone, courrier ou email pour l’informer du sinistre et obtenir les informations nécessaires pour remplir le formulaire de déclaration.
  • Remplir le formulaire de déclaration : Remplir le formulaire de déclaration de sinistre avec précision et en fournissant toutes les informations demandées, comme la nature du sinistre, les dates et heures de l’événement, les cultures affectées, les pertes estimées et les mesures de conservation prises.
  • Fournir les documents justificatifs : Joindre au formulaire de déclaration de sinistre tous les documents justificatifs nécessaires, comme les factures d’achat d’intrants, les relevés de production, les photos et vidéos des dommages, les certificats de conformité des bâtiments agricoles et lesExpertise agricole : Le rôle essentiel de l’expert dans l’évaluation des dommagesdocuments relatifs à l’exploitation agricole (plan cadastral, bail rural).
  • Envoyer le dossier complet à son assureur : Envoyer le dossier complet à son assureur par courrier recommandé avec accusé de réception, pour avoir une preuve de l’envoi et de la réception du dossier.

Expertise agricole : le rôle essentiel de l’expert dans l’évaluation des dommages

Après la déclaration du sinistre, l’assureur mandate un expert agricole pour évaluer les dommages et déterminer le montant de l’indemnisation à verser à l’assuré. L’expert a pour rôle de constater les dommages, d’évaluer les pertes de récolte, de vérifier la conformité des informations fournies par l’assuré et d’établir un rapport d’expertise. Ce rapport sert de base au calcul de l’indemnisation. Il est important de collaborer avec l’expert, de lui fournir toutes les informations demandées et de lui faciliter l’accès à l’exploitation.

Insérer ici le guide pratique (checklist) de la déclaration de sinistre

Ressources utiles et contacts : s’informer, se former et se faire accompagner à Saint-Marcel

Pour vous accompagner dans la gestion des risques climatiques et la protection de votre exploitation agricole, plusieurs organismes, assureurs et services sont à votre disposition à Saint-Marcel et dans ses environs. N’hésitez pas à les contacter pour obtenir des informations, des conseils et un accompagnement personnalisé.

Organismes agricoles : un soutien technique et administratif pour les agriculteurs

Plusieurs organismes agricoles sont présents à Saint-Marcel et dans la région, offrant un soutien technique et administratif aux agriculteurs, notamment en matière de gestion des risques climatiques et d’assurance agricole.

  • Chambre d’Agriculture de [Région] : Accompagnement des agriculteurs, conseils techniques, informations sur les assurances agricoles, formations sur la gestion des risques climatiques (0[Numéro de téléphone] – [Site web]). La Chambre d’Agriculture propose également des diagnostics d’exploitation pour identifier les points faibles face aux aléas climatiques et proposer des solutions d’amélioration.
  • Syndicat agricole [Nom du syndicat] : Représentation des agriculteurs, défense de leurs intérêts auprès des pouvoirs publics, informations sur les réglementations en vigueur en matière d’assurance agricole (0[Numéro de téléphone] – [Site web]). Le syndicat agricole peut également vous aider à négocier avec les assureurs et à faire valoir vos droits en cas de litige.
  • Coopérative agricole [Nom de la coopérative] : Accompagnement technique, commercialisation des produits agricoles, conseils sur les variétés résistantes aux aléas climatiques et les techniques de conservation des sols (0[Numéro de téléphone] – [Site web]). La coopérative agricole peut également vous aider à mutualiser les risques climatiques avec d’autres agriculteurs.
  • Groupement de développement agricole (GDA) [Nom du GDA] : Échanges d’expériences entre agriculteurs, visites d’exploitations, formations sur les pratiques agricoles durables et la gestion des risques climatiques (0[Numéro de téléphone] – [Site web]). Le GDA permet aux agriculteurs de partager leurs connaissances et leurs bonnes pratiques pour faire face aux aléas climatiques.

Assureurs agricoles : choisir un partenaire de confiance pour protéger son exploitation

Voici quelques-uns des principaux assureurs proposant des assurances agricoles à Saint-Marcel :

  • Groupama : Assureur spécialisé dans l’agriculture, proposant une large gamme de contrats d’assurance multirisque climatique, d’assurance récolte et d’assurance des bâtiments agricoles (0[Numéro de téléphone] – [Site web]). Groupama propose également des services de conseil en prévention des risques climatiques.
  • AXA : Assureur généraliste proposant des contrats d’assurance agricole adaptés aux besoins des agriculteurs de Saint-Marcel, notamment des assurances multirisque climatique et des assurances des bâtiments agricoles (0[Numéro de téléphone] – [Site web]). AXA propose également des solutions de financement pour les investissements agricoles.
  • MAIF : Assureur mutualiste proposant des assurances agricoles à des tarifs avantageux pour les agriculteurs adhérents, notamment des assurances multirisque climatique et des assurances responsabilité civile agricole (0[Numéro de téléphone] – [Site web]). La MAIF met l’accent sur la solidarité et la proximité avec ses assurés.

Services météo : suivre l’évolution des conditions climatiques en temps réel

  • Météo France : Service public de la météorologie, proposant des prévisions météorologiques détaillées pour Saint-Marcel et des alertes en cas de risque climatique (www.meteofrance.fr).
  • Agri-Météo : Fournisseur de prévisions météorologiques spécifiques pour l’agriculture, avec des alertes personnalisées en cas de risque climatique (www.agri-meteo.fr).
  • Weenat : Application mobile spécialisée dans les prévisions agricoles, avec des capteurs connectés pour mesurer les paramètres climatiques sur l’exploitation (www.weenat.com).

Insérer ici la carte interactive avec les contacts et adresses

Comprendre les aléas climatiques, adopter des pratiques de prévention adaptées et souscrire une assurance agricole sont des éléments clés pour assurer la pérennité de votre exploitation agricole à Saint-Marcel. Face à l’évolution des risques climatiques et à l’augmentation de la fréquence des événements extrêmes, il est essentiel de s’informer, de se former, de se faire accompagner et de se protéger efficacement. La Chambre d’Agriculture de la région, les syndicats agricoles, les coopératives agricoles et les assureurs agricoles sont à votre disposition pour vous aider à relever ce défi.